A la recherche de Zanko...

J'avais traversée toute la forêt avec l'espoir de trouver mon chef: Zanko. Mais cela me paraîssais maintenant compliqué... Mais il fallait que je lui demande quand est ce que la bataille devait commencer.
Mon périple était loin d'être finie, je marchais, et marchais encore jusque je trouverai mon chef.

Le rassemblement de mes troupes pour la bataille approchait. Je devais organiser cela ...
Je connais assez peu mes adversaires et un espion me serait de forte utilité.

Marcher autour de ce lac brumeux m'aidait à réfléchir, à me torturer l'esprit comme j'aimais torturer les autres. Les idées se mettaient en place toute seules, restait à prévenir mes sbires du plan d'attaque.

Je trotinais jusqu'au bout du lac pour me désaltérer. Et ce n'est qu'à ce ,moment la que je vit mon chef Zanko, celui qui était le plus puissant a mes yeux.
Il me suffit que de quelques foulées pour le rejoindre. Après un bref instent je voulus le regarder dans les yeux mais ma tête déscendit ausitôt quand je vis ses yeux.
Ils reflètaient la terreur, la souffrance, la solitude et le pouvoir...

Me voila, Zanko. Je suis une de tes sbires, c'est un honneur pour moi de te voir. Mon Chef.

Je parlais tout en laissant mon encolure courbée et mes yeux collé au sol.

J'arrivais au trot, lorsqu'une silhouette se dessina dans la brume. Je me mis lentement au pas, jusqu'à m'arrêter. Le cheval arriva rapidement vers moi. Il s'avérait être une jument, mais qu'importe. Jument ou étalon s'était un sbire et s'était tout ce qui importait. La jument n'osa pas me regarder les yeux, pas comme l'autre dans le désert ! Et c'est ce qui me fit me dresser de toute ma grandeur face à elle. Elle dit que c'était un honneur pour elle que je me trouve face à elle. Mais qu'est-ce qu'elle me voulait celle-là ! Je lui lança:

-Qu'est-ce que tu veux ?!

J'avais parlé avec force, grandeur et méchanceté. Je n'allais pas me faire rabaisser par cette jument, je ne me rabaisserai devant personne d'ailleurs !

Chef, j'ai voulu vous rencontrer pour vous être utile. Je sais qqu'une guerre se préparre donc me voila ici.

Je ne voulais pas le vexé car je sais que je ne ferai pas le poid. Quand il m'avais parler je sentait cette frustration de ma présence dans sa voix.

Si je vous importune je m'en irais. Vous avez juste à m'en donner l'ordre.

Je n'addmettrai pas que je recule. Malgré sa, j'avais une envie de fuir devant lui, devant sa puissance et sa carrure. Attendre une réponse était insoutenable.
Mes yeux toujours fixé au sol ne bougaient pas, j'avais peur de sa réaxion, peur de mon sort, de se qu'il m'a réservé. Mais je n'en laissait rien paraître car cela s'appelai: la faiblesse.